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  • La production de ce trait de côte de Saint-Martin a été réalisée par le Cerema à partir d'images du satellite Pléiades et s'est appuyée sur la chaine de traitement semi-automatique développée par le pôle satellite du Cerema. Ce trait de côte correspond à un trait de côte intermédiaire situé entre la limite haute et la limite basse du jet de rive. Il s'agit du millésime d'avril 2018 (6 mois après les ouragans Irma et Maria qui ont frappé Saint-Martin). Cette production a été financée par l'Agence Nationale de la Recherche dans le cadre du projet Relev.

  • La production de ce trait de côte de Saint-Barthélemy a été réalisée par le Cerema à partir d'images du satellite Pléiades et s'est appuyée sur la chaine de traitement semi-automatique développée par le pôle satellite du Cerema. Ce trait de côte correspond à un trait de côte intermédiaire situé entre la limite haute et la limite basse du jet de rive. Il s'agit du millésime de décembre 2019 (2 ans après les ouragans Irma et Maria qui ont frappé Saint-Barthélémy). Cette production a été financée par l'Agence Nationale de la Recherche dans le cadre du projet Relev.

  • Ce jeu de données représente les frontières des principaux océans et mers du monde. La source des limites est la publication "Limits of Oceans & Seas, publication spéciale n ° 23" publiée par l'OHI en 1953. Le jeu de données a été réalisé par le Flanders Marine Institute (VLIZ). NB: L'océan Austral n'est pas inclus dans la publication de l'OHI et ses limites font l'objet de discussions au sein de la communauté scientifique. Le Flanders Marine Institute a reconnu la controverse autour de ce sujet, mais a décidé d'inclure l'océan Austral dans le jeu de données, ce terme étant souvent utilisé par les scientifiques travaillant dans ce domaine. Flanders Marine Institute (2018). IHO Sea Areas, version 3. Available online at http://www.marineregions.org/. https://doi.org/10.14284/323

  • Une étude relative aux courants a été menée sur la zone d'étude EMR située au large de Dunkerque. Deux courantomètres monocouche Aquadopp et deux profileurs de courant houlographes AWAC ont ainsi été déployés en 2016 sur des cages tripodes posées sur le fond. Les fichiers de mesures de courant collectées lors de cette campagne sont mis à disposition (composantes de la vitesse en fonction du temps). Deux mouillages instrumentés ont été déployés sur la zone d'étude EMR de Dunkerque : - du 1 au 23/09/2016 pour le mouillage n°1 AWAC_1 (F0542 , 51°10,118’N/002°24,633’E) - du 6/09 au 9/10/2016 pour le mouillage n°2 AWAC_2 (F0544, 51°11,581’N/002°24,244’E)) Chaque mouillage disposait de deux types de courantomètres : un profileur acoustique houlographe (AWAC, NORTEK), un courantomètre monocouche. Données accessibles : - F0542_monocouche : EMR_DUNKERQUE_1_UTC_8-8m - F0542_profileur :EMR_DUNKERQUE_1_UTC_2-5m F0542_profileur/EMR_DUNKERQUE_1_UTC_3-5m F0542_profileur/EMR_DUNKERQUE_1_UTC_4-5m F0542_profileur/EMR_DUNKERQUE_1_UTC_5-5m F0542_profileur/EMR_DUNKERQUE_1_UTC_6-5m F0542_profileur/EMR_DUNKERQUE_1_UTC_7-5m F0542_profileur/EMR_DUNKERQUE_1_UTC_8-5m - F0544 monocouche : EMR_DUNKERQUE_2_UTC_24m - F0544_profileur :EMR_DUNKERQUE_2_UTC_7m F0544_profileur/EMR_DUNKERQUE_2_UTC_11m F0544_profileur/EMR_DUNKERQUE_2_UTC_13m F0544_profileur/EMR_DUNKERQUE_2_UTC_15m F0544_profileur/EMR_DUNKERQUE_2_UTC_17m F0544_profileur/EMR_DUNKERQUE_2_UTC_19m F0544_profileur/EMR_DUNKERQUE_2_UTC_21m F0544_profileur/EMR_DUNKERQUE_2_UTC_23m Fichiers, au format TXT, des mesures de courant in situ (u, v) en fonction du temps (toutes les 10 minutes pour les courantomètres ponctuels, 10 minutes pour les profileurs). Le contenu des fichiers est le suivant : Format date heure (UTC) vitesse u (m/s) vitesse v (m/s)

  • Une étude de caractérisation de site a été menée par le Shom sur la zone d'étude EMR de Dunkerque en 2016 et 2017. Dans le cadre du volet "sédimentologie" de cette étude, différentes données ont été collectées : prélèvements sédimentaires, mesures de turbidité, données sismiques issues des sondeurs de sédiment, imagerie SMF... - Prélèvements sédimentaires / Granulométrie : 39 prélèvements réalisés à la benne Van Veen en 2016 et 2017 (prise de vue des échantillons, mesure de la granularité par tamisage sur une colonne de tamis de mailles, mesure du taux de carbonate de calcium à l'aide d'un Bernard classique, calcul des paramètres granulométriques). Novembre 2017. - Turbidité : suivi de la turbidité réalisé au travers de deux mouillages (stations benthiques équipées de turbidimètres optiques). Analyse des séries temporelles de turbidité de fond : séries temporelles acquises du 1/09/2016 au 23/09/2016 pour le mouillage n°1 et du 6/09/2016 au 9/10/2016 pour le mouillage n°2 - Sismique : profils sismiques acquis au sondeur de sédiments (données THR). Fichiers .XTF (format constructeur) de volumétrie importante éventuellement accessibles sur demande. Données accessibles : - Prélèvements sédimentaires / Granulométrie : EMRDunkerqueGRANULOMETRIE_Synthese.xls. Contenu : N° échantillon, immersion, Lat, Long, MGS, sorting, skew, Grain Moyen mm, porosité, densité, célérité, Folk, Etude, Shom, CaCO3, Cailloux, Graviers, Sable, Sable Fin, Vase, Rugosité, SSC, Code Add, Cailloux, Gros graviers, Petits graviers, Sable Gravier, Sable moyen, Sable fin, Sable très fin, Silts, Argile + camemberts de répartition par classe de ganularité - Turbidité : EMRDunkerqueTURBIDITE_Synthese.xls. Contenu : Date/heure, niveau de turbididté (NTU) Références horizontales : WGS84 assimilé au système géodésique RGF93 (écart de 65cm entre les 2 systèmes, pris en compte dans le bilan des erreurs théoriques) ; projection Lambert93 Références verticales : ZH à Dunkerque pour les sondes, la référence verticale des altitudes est le zéro du système NGF-IGN 1969.

  • La constellation de satellites Pléiades permet de disposer d'images combinant idéalement couverture large, haute résolution (50 cm) et importante fréquence de mise à jour : tout point du territoire national est survolé tous les trois à quatre jours, avec une résolution de 70 cm. L'IGN assure l'ortho-rectification des images, pour constituer des "orthos satellites". La vectorisation du trait de côte à partir d'images satellites du littoral de 2014 a été réalisée par le CEREMA pour le compte de la DREAL Occitanie. Le trait de côte correspond ici au milieu du jet de rive (*); un lissage a été opéré pour obtenir le tracé définitif. Les travaux effectués sur une zone test ont permis d'évaluer un niveau de précision fin, de l'ordre du mètre. (*) Le jet de rive correspond au filet d’eau montant sur l’estran instantané à la suite du dernier déferlement. Le jet de retour correspond au filet d’eau descendant (back-wash). Ces deux mouvements de montée et de descente définissent le swash, aussi appelé jet de rive.

  • Calcul des isolignes de la vitesse du vent avec une équidistance de 0.25 m/s

  • Calcul des isolignes de la vitesse du courant en m/s pour un coefficient de 45. L'intervalle entre les isolignes est de 0.1 m/s.

  • La laisse des eaux regroupe : - la laisse des plus hautes eaux (limite des terres jamais recouvertes par la mer), dont la continuité est assurée sur l'ensemble de la BDCarthage. Dans le cas des îles, elle n'est saisie que si elle délimite une zone d'une superficie supérieure ou égale à 1 hectare ; - la laisse des plus basses eaux (limite des terres toujours submergées), là où elle est distante de plus de 100 mètres de la laisse des plus hautes eaux (sinon elle n'est pas saisie) et en dehors des estuaires (où une ligne arbitraire fermant l'estuaire est saisie à la place de la laisse des plus basses eaux). Dans le cas des îles émergées seulement à marée basse, elle n'est saisie que si elle délimite une zone d'une superficie supérieure ou égale à 4 hectares. Un tronçon de laisse est localisé par des arcs géométriques, correspondant aux découpages par attributs gérés par l’IGN : nature. Le changement de valeur d’un attribut n’entraîne la création d’un tronçon de laisse que si la nouvelle valeur reste constante sur une longueur d’au moins 1 km.

  • La production de ce trait de côte de Saint-Martin a été réalisée par le Cerema à partir d'images du satellite Pléiades et s'est appuyée sur la chaine de traitement semi-automatique développée par le pôle satellite du Cerema. Ce trait de côte correspond à un trait de côte intermédiaire situé entre la limite haute et la limite basse du jet de rive. Il s'agit du millésime de mars 2017 (8 mois avant les ouragans Irma et Maria qui ont frappé Saint-Martin). Cette production a été financée par l'Agence Nationale de la Recherche dans le cadre du projet Relev.