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  • La laisse des eaux regroupe : - la laisse des plus hautes eaux (limite des terres jamais recouvertes par la mer), dont la continuité est assurée sur l'ensemble de la BDCarthage. Dans le cas des îles, elle n'est saisie que si elle délimite une zone d'une superficie supérieure ou égale à 1 hectare ; - la laisse des plus basses eaux (limite des terres toujours submergées), là où elle est distante de plus de 100 mètres de la laisse des plus hautes eaux (sinon elle n'est pas saisie) et en dehors des estuaires (où une ligne arbitraire fermant l'estuaire est saisie à la place de la laisse des plus basses eaux). Dans le cas des îles émergées seulement à marée basse, elle n'est saisie que si elle délimite une zone d'une superficie supérieure ou égale à 4 hectares. Un tronçon de laisse est localisé par des arcs géométriques, correspondant aux découpages par attributs gérés par l’IGN : nature. Le changement de valeur d’un attribut n’entraîne la création d’un tronçon de laisse que si la nouvelle valeur reste constante sur une longueur d’au moins 1 km.

  • Calcul des isolignes de la vitesse du courant en m/s pour un coefficient de 45. L'intervalle entre les isolignes est de 0.1 m/s.

  • Le gisement houlomoteur a été obtenu par analyse de la bathymétrie et des données de la houle. Elles sont issues de la base de données ANEMOC établie par EDF R&D - LNHE et le CEREMA (Direction technique Eau, Mer et Fleuves) qui s'appuie sur la modélisation des états de la mer à l'aide du modèle TOMAWAC. Après concertation avec le syndicat des Énergies marines renouvelables, des critères techniques ont été fixés pour identifier ces gisements: Puissance > 20kw/m et Profondeur entre 50 et 130m.

  • L’étude menée sur les courants de la zone d’étude EMR Dunkerque correspond à une caractérisation des courants de marée rencontrés sur le secteur à partir de nouvelles connaissances acquises au travers des campagnes de mesures menées en 2016. Différents éléments sont issus de cette étude : - résultats de l’analyse statistique des mesures pour différentes immersions (roses de courant aux coefficients 45 et 95, toutes les heures autour de la pleine mer du port de référence), - qualification du modèle 3D de courants de marée Pas-de-Calais aux points géographiques des mesures (tableau de comparaison), - le produit « courants de marée » sur la zone d’étude (fichiers numériques pour 3 couches). Données accessibles : - Dossier T3_2_Statistique : Analyse statistique des mesures pour différentes immersions (surface, mi-profondeur, fond) F0542 correspond au mouillage AWAC_1 (51°10,118’N/002°24,633’E) et F0544 au mouillage AWAC_2 (51°11,581’N/002°24,244’E) Se référer au fichier format.txt pour les intitulés de colonne - Dossier T3_3_Produit3D_courant : Le produit « Courants de marée 3D – EMR Dunkerque » est issu du modèle numérique Pas de Calais, Baie de Somme. Ce modèle est une adaptation du code de calcul TELEMAC-3D, développé par le laboratoire hydraulique de Saint-Venant, afin de simuler la propagation de l'onde de marée pour deux coefficients de marée 45 et 95. Se référer au document Notice.doc pour plus d'informations. - Dossier coefficient_maree : Annuaire des marées pour la période de l'étude.

  • La constellation de satellites Pléiades permet de disposer d'images combinant idéalement couverture large, haute résolution (50 cm) et importante fréquence de mise à jour : tout point du territoire national est survolé tous les trois à quatre jours, avec une résolution de 70 cm. L'IGN assure l'ortho-rectification des images, pour constituer des "orthos satellites". La vectorisation du trait de côte à partir d'images satellites du littoral de 2019 a été réalisée par le CEREMA pour le compte de la DREAL Occitanie. Le trait de côte correspond ici au milieu du jet de rive (*); un lissage a été opéré pour obtenir le tracé définitif. Les travaux effectués sur une zone test ont permis d'évaluer un niveau de précision fin, de l'ordre du mètre. (*) Le jet de rive correspond au filet d’eau montant sur l’estran instantané à la suite du dernier déferlement. Le jet de retour correspond au filet d’eau descendant (back-wash). Ces deux mouvements de montée et de descente définissent le swash, aussi appelé jet de rive.

  • La laisse des eaux regroupe : - la laisse des plus hautes eaux (limite des terres jamais recouvertes par la mer), dont la continuité est assurée sur l'ensemble de la BDCarthage. Dans le cas des îles, elle n'est saisie que si elle délimite une zone d'une superficie supérieure ou égale à 1 hectare ; - la laisse des plus basses eaux (limite des terres toujours submergées), là où elle est distante de plus de 100 mètres de la laisse des plus hautes eaux (sinon elle n'est pas saisie) et en dehors des estuaires (où une ligne arbitraire fermant l'estuaire est saisie à la place de la laisse des plus basses eaux). Dans le cas des îles émergées seulement à marée basse, elle n'est saisie que si elle délimite une zone d'une superficie supérieure ou égale à 4 hectares. Un tronçon de laisse est localisé par des arcs géométriques, correspondant aux découpages par attributs gérés par l’IGN : nature. Le changement de valeur d’un attribut n’entraîne la création d’un tronçon de laisse que si la nouvelle valeur reste constante sur une longueur d’au moins 1 km.

  • La limite des 300 mètres de la laisse de basse mer est située à 300 mètres en aval de la ligne de rivage instantanée délimitée en aval la zone de police spéciale des baignades et activités nautiques pratiquées à l'aide d'engins non immatriculés (loi 86.2 dite "loi littoral" du 3/01/1986). Elle est placée sous l'autorité du maire. C'est aussi la limite de la zone de navigation limitée à 5 noeuds. La limite réelle fluctue avec la marée. La limite générée dans ce fichier correspond à une situation à marée basse de coefficient 120 et donc à l'extension maximum. Elle a été générée par calcul à partir du zéro hydrographique au 1/50000. Dans la partie amont des estuaires, ainsi que sur les plans d'eau douce, ce fichier devrait être confronté au fichier des communes bénéficiant du classement en commune littorale (opération non réalisée à ce jour). Les données source sont des données dérivées par calcul d'éléments contenus dans la BDBS SHOM (construction IFREMER). Références : "Données géographiques de référence en domaine littoral", Rapport du groupe de travail SHOM-IFREMER 12/01/2000 ; Loi 86-2 dite "loi littoral" du 3.01.86.

  • Ce jeu de données représente les frontières des principaux océans et mers du monde. La source des limites est la publication "Limits of Oceans & Seas, publication spéciale n ° 23" publiée par l'OHI en 1953. Le jeu de données a été réalisé par le Flanders Marine Institute (VLIZ). NB: L'océan Austral n'est pas inclus dans la publication de l'OHI et ses limites font l'objet de discussions au sein de la communauté scientifique. Le Flanders Marine Institute a reconnu la controverse autour de ce sujet, mais a décidé d'inclure l'océan Austral dans le jeu de données, ce terme étant souvent utilisé par les scientifiques travaillant dans ce domaine. Flanders Marine Institute (2018). IHO Sea Areas, version 3. Available online at http://www.marineregions.org/. https://doi.org/10.14284/323

  • La constellation de satellites Pléiades permet de disposer d'images combinant idéalement couverture large, haute résolution (50 cm) et importante fréquence de mise à jour : tout point du territoire national est survolé tous les trois à quatre jours, avec une résolution de 70 cm. L'IGN assure l'ortho-rectification des images, pour constituer des "orthos satellites". La vectorisation du trait de côte à partir d'images satellites du littoral de 2014 a été réalisée par le CEREMA pour le compte de la DREAL Occitanie. Le trait de côte correspond ici au milieu du jet de rive (*); un lissage a été opéré pour obtenir le tracé définitif. Les travaux effectués sur une zone test ont permis d'évaluer un niveau de précision fin, de l'ordre du mètre. (*) Le jet de rive correspond au filet d’eau montant sur l’estran instantané à la suite du dernier déferlement. Le jet de retour correspond au filet d’eau descendant (back-wash). Ces deux mouvements de montée et de descente définissent le swash, aussi appelé jet de rive

  • La zone d'exclusion technique pour l'éolien en mer flottant correspond à l'interpolation des critères vent, courant et bathymétrie : Vitesse du vent inférieure à 7m/s ET Vitesse du courant supérieure à 2.5 m/s ET bathymétrie supérieure à -40 mètres ET inférieure à -350 mètres