2009
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L'Observatoire Hydro-météorologique Méditerranéen Cévennes-Vivarais vise à fédérer les compétences de chercheurs de disciplines variées (météorologie, hydrologie, géophysique, géographie, mathématiques appliquées, socio-économie... ) pour améliorer les connaissances et les capacités de prévision du risque hydro-météorologique associé aux pluies intenses et aux crues éclairs. Plusieurs instituts et laboratoires contribuent à l'acquisition de données météorologiques et hydrologiques: La contribution de l’Irstea de Lyon consiste à mettre en service et assurer la maintenance d’un réseau de stations de mesures sans contact du débit des rivières (mesure des vitesses de surface par la méthode LSPIV, et mesures de hauteur d’eau par capteur radar) sur le bassin versant de l'Ardèche. Paramètres étudiés : Débit Hauteur d'eau Données disponibles via la Base de Données pour les Observatoires en Hydrologie BDOH, gérée par Irstea.
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L’Observatoire des Sédiments du Rhône (OSR) a été créé en 2009 à la suite de questions qui ont émergé dans le cadre du plan Rhône. Sur le Rhône, du Léman à la Méditerranée, soit un linéaire de plus de 500 km, cet observatoire a pour mission de produire, rassembler et gérer des données visant à caractériser les stocks et les flux sédimentaires, ainsi que les pollutions associées à ces sédiments. L’OSR est un programme de recherche financé au titre du Plan Rhône et bénéficie du soutien du Fond Européen pour le Développement Régional. L’OSR est un programme de recherche regroupant scientifiques (CNRS, Irstea, ENTPE, IRSN, Ifremer) et les principaux gestionnaires du fleuve (DREAL, Agence de l’Eau, la CNR, les régions Auvergne Rhône-Alpes, Provence-Alpes-Côte d’Azur et Occitanie, et EDF). Il constitue l’un des observatoires de la Zone Atelier du Bassin du Rhône (ZABR). Sites expérimentaux : - Flux OSR Ce site expérimental regroupe les suivis par les différents partenaires de l'OSR des débits, des concentrations en sédiments en suspension et des taux de micropolluants sur le Rhône et ses affluents. Données disponibles via la Base de Données pour les Observatoires en Hydrologie BDOH, gérée par Irstea.
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L'expression "Zones Basses" correspond aux zones topographiques situées sous le niveau centennal de la mer (niveau de référence retenu pour la France métropolitaine). Sa représentation cartographique est discrétisé en trois catégories de valeurs: * Zone sous le niveau marin centennal -1m : Fort * Zone sous le niveau marin centennal : Moyen * Zone sous le niveau marin centennal +1m : Faible
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L'indicateur IB représente le degré d'Intensité du Bâti situé dans les zones basses sous les niveaux marins centennaux actuels (ZBNM100). A la différence de l'indicateur IBC, cet indicateur ne prend pas en compte le paramètre "catastrophes naturelles d'origine marine". La représentation cartographique de cet indicateur est discrétisé en 6 classes selon un algorithme utilisant la moyenne de chaque classe pour répartir dans toutes les classes les données de façon équilibrée. Une 7ième classe a été rajoutée (classe de valeur 0). Elle correspond aux communes n'ayant aucun bâtiment en zones basses. La distribution des valeurs de l'indicateur IB pour les ZBNM100 se répartit comme suit : * classe 0 : valeur IB [0;1[ * Classe 1 : valeur IB [1;20[ * Classe 2 : valeur IB [20;110[ * Classe 3 : valeur IB [110;320[ * Classe 4 : valeur IB [320;770[ * Classe 5 : valeur IB [770;2150[ * Classe 6 : valeur IB [2150;5940[
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Le découpage hydrographique est l'ensemble des quatre partitions hiérarchisées du territoire français réalisé selon des aires hydrographiques décroissantes : - région hydrographique (1er ordre), - secteur hydrographique (2ème ordre), - sous-secteur hydrographique (3ème ordre), - zone hydrographique (4ème ordre). Un secteur est découpé suivant un maximum de 10 sous-secteurs et un sous-secteur est découpé suivant un maximum de 10 zones hydrographiques. La BDCarthage Guadeloupe est maintenue par la DEAL Guadeloupe. La structure de la base de données est identique au format métropole.La BD Carthage Guadeloupe est une version validée par le SIE mais pas par l'IGN et que donc des problemes d'incompatibilité avec des referentiels IGN peuvent survenir (et qu'une mise à jour "officialisera" la BD Carthage avec la validation IGN).
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Le produit "Orthophotographie infrarouge - Département de l'Allier" est une orthophotographie numérique en infrarouge, rectifiées dans la projection associée au système géodésique RGF93. La résolution au sol est de 0,30 par pixel, la précision planimétrique est de 0,60m et les dévers sont < à 30% en zone rurale et < 21% en zone urbaine. La longueur d'onde IR est comprise entre 650 et 960 nm. L'image IRC est composée de canal IR (650 - 960 nm) + Rouge (580 - 700 nm) et Vert (480 - 640nm). Les données sont téléchargeables en Open Data depuis le catalogue : soit par dalle en fichier zip (3718 fichiers pour 13Go), soit rééchantillonnées au format ECW (6 fichiers pour 21Go). Projet co-financé par l'Union européenne - fonds européen de développement régional FEDER - L'Europe s'engage en Auvergne
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Cette couche cartographique identifie les communes du littorales ayant progressé dans l'échelle d'intensité de l'indicateur IB.
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Le concept principal du découpage hydrographique est l’entité hydrographique définie par la circulaire n°91-50. L’entité hydrographique est un cours d’eau naturel ou aménagé, un bras naturel ou aménagé, une voie d’eau artificielle (canal,…), un plan d’eau ou une ligne littorale. La nature d’une entité hydrographique n’est pas constante sur toute l’entité. Par exemple, un cours d’eau naturel peut être aménagé sur une partie. Tous ces changements peuvent être indiqués en distinguant des sous-milieux sur l’entité. Les entités hydrographiques sont décomposées en deux types : - les entités hydrographiques linéaires ou cours d’eau, - les entités hydrographiques surfaciques correspondant aux plans d’eau et aux entités linéaires dont les zones larges (supérieures à 50 mètres) sont représentées par des éléments surfaciques. Une entité hydrographique surfacique peut être traversée par un cours d’eau, qui sera nommé cours d’eau principal. Chaque entité est identifiée par un code générique unique au niveau national. Ce code alphanumérique sur 8 positions est constitué de tirets et de caractères. Par exemple, un cours d'eau qui traverse plusieurs zones ou plusieurs sous-secteurs aura un code générique du format des codes génériques suivants "V12-4000" ou "R5--0420" (cf. ci-après pour la règle de construction). De plus, une entité hydrographique possède une dénomination dite principale. Règle de construction du code générique de l’entité hydrographique : A chaque entité hydrographique est attribué un numéro à 3 chiffres (5, 6 et 7ème caractères) unique pour le milieu et la ou les zones hydrographiques auxquels elle appartient : il s'agit du numéro de l'entité hydrographique. Une entité hydrographique appartenant à plusieurs zones conserve son numéro d'entité dans toutes les zones concernées. Deux entités hydrographiques d'un même milieu appartenant à deux sous-milieux différents auront des numéros d'entité distincts. Les quatre premiers caractères du code générique correspondent à l’ensemble des codes invariants des zones hydrographiques, le reste des caractères étant remplacé par des tirets ‘-‘. Par exemple, le cours d’eau “ Viveronne ” a pour numéro de l’entité : 050 et pour code milieu : 0. Ce cours d’eau est situé à l’intérieur d’une seule zone hydrographique : P737. Son code générique est donc : P7370500 Le cours d’eau “ La Dronne ” a pour numéro d’entité : 025 et pour code milieu : 0 . Ce cours d’eau traverse plusieurs zones hydrographiques (même plusieurs sous-secteurs ) : P746,P744, P742, P70, P734, P731, P730, P716, P715, P714, P711, P710, P702, P701, P700. Parmi ces codes, seuls les deux caractères sont invariants. Son code générique est donc : P7--0250 De manière similaire, la Garonne a pour numéro d’entité : 000 et pour code milieu : 0. Ce cours traverse plusieurs secteurs hydrographiques (tout commencant par “ 0 ”. Son code générique est : 0---00000 Une entité hydrographique de surface est une entité hydrographique regroupant les plans d'eau et les entités linéaires dont les zones larges (supérieures à 50 mètres) sont représentées par des éléments surfaciques. Une entité hydrographique est décomposée en éléments hydrographique de surface. Dans certains cas, une entité hydrographique de surface peut être traversée par un ou plusieurs cours d'eau - cas des plans d'eau. Néanmoins, il est retenu qu'une seule entité hydrographique, dit cours d'eau principal du plan d'eau. Par contre, une entité hydrographique peut être traversée / contenir par un ensemble de tronçons élémentaires. La BDCarthage Guadeloupe est maintenue par la DEAL Guadeloupe. La structure de la base de données est identique au format métropole.La BD Carthage Guadeloupe est une version validée par le SIE mais pas par l'IGN et que donc des problemes d'incompatibilité avec des referentiels IGN peuvent survenir (et qu'une mise à jour "officialisera" la BD Carthage avec la validation IGN).
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Orthophotographie infrarouge (IRC) en projection Lambert-93 sur 80 communes appartenant au Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) des Rives du Rhône (1100 km²) à la résolution de 25 cm. L'image est découpée en dalles géoréférencées d’emprise 2 km x 2 km, au format ECW.
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La couche cartographique répartie par niveaux les hauteurs d'eau dans les zones basses pour un niveau marin centennal de référence (ZBNM100). La représentation cartographique de ces hauteurs d'eau est réalisée à l'échelle nationale en distinguant 6 classes de niveaux de l'eau : * niveau de l'eau compris entre 5.5m et 13.5m * niveau de l'eau compris entre 4.5m et 5.5m * niveau de l'eau compris entre 3.5m et 4.5m * niveau de l'eau compris entre 2.5m et 3.5m * niveau de l'eau compris entre 1.5m et 2.5m * niveau de l'eau compris entre 0m et 1.5m . Les hauteurs d'eau sont données par classe de 1m sauf pour la première et dernière classe.