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  • Fin 2020, l'IGN a annoncé le lancement du programme LiDAR HD visant à produire une cartographie 3D de l’intégralité de la France à partir de données LiDAR de haute densité. L'objectif étant de couvrir l'ensemble du territoire métropolitain d'ici fin 2025 avec un semis de points d'une densité de 10 points / m² (moyenne). L'ensemble des acquisitions LiDAR ainsi que la diffusion des données se fera progressivement jusqu'en 2026. Dans la continuité de ses missions, le CRAIG accompagne les territoires d'Auvergne-Rhône-Alpes sur ce programme. Cet accompagnement passe notamment par le suivi de l'avancement, la diffusion des données produites par l'IGN, la production de données dérivées (MNT, MNS, etc...) pour répondre aux besoins de ses partenaires (étude et prévention des risques, environnement, recherche, etc...) et la formation sur les outils logiciels. Pour suivre l'avancement du programme, le CRAIG tient à jour une carte permettant de connaître l'état de diffusion des données sur la région. Cette carte permet également de consulter certaines métadonnées (période d'acquisition, capteur, etc...) et de télécharger les données à l'unité.

  • Une zone d’alerte est une unité hydrologique ou hydrogéologique cohérente pour laquelle l’administration est susceptible de prescrire des mesures de restriction. Cette zone peut être tout ou partie d’un sous bassin et sa nappe d’accompagnement, tout ou partie d’une masse d’eau souterraine ou d’un groupe de masses d’eau souterraine. La délimitation des zones d’alerte doit tenir compte des moyens de surveillance existants pour permettre un suivi adapté et établir des conditions de déclenchement. Les modalités de définition des zones d’alerte sont précisées dans l’article R.211-67 du CE.

  • Une zone d’alerte est une unité hydrologique ou hydrogéologique cohérente pour laquelle l’administration est susceptible de prescrire des mesures de restriction. Cette zone peut être tout ou partie d’un sous bassin et sa nappe d’accompagnement, tout ou partie d’une masse d’eau souterraine ou d’un groupe de masses d’eau souterraine. La délimitation des zones d’alerte doit tenir compte des moyens de surveillance existants pour permettre un suivi adapté et établir des conditions de déclenchement. Les modalités de définition des zones d’alerte sont précisées dans l’article R.211-67 du CE.

  • Une zone d’alerte est une unité hydrologique ou hydrogéologique cohérente pour laquelle l’administration est susceptible de prescrire des mesures de restriction. Cette zone peut être tout ou partie d’un sous bassin et sa nappe d’accompagnement, tout ou partie d’une masse d’eau souterraine ou d’un groupe de masses d’eau souterraine. La délimitation des zones d’alerte doit tenir compte des moyens de surveillance existants pour permettre un suivi adapté et établir des conditions de déclenchement. Les modalités de définition des zones d’alerte sont précisées dans l’article R.211-67 du CE.

  • Une zone d’alerte est une unité hydrologique ou hydrogéologique cohérente pour laquelle l’administration est susceptible de prescrire des mesures de restriction. Cette zone peut être tout ou partie d’un sous bassin et sa nappe d’accompagnement, tout ou partie d’une masse d’eau souterraine ou d’un groupe de masses d’eau souterraine. La délimitation des zones d’alerte doit tenir compte des moyens de surveillance existants pour permettre un suivi adapté et établir des conditions de déclenchement. Les modalités de définition des zones d’alerte sont précisées dans l’article R.211-67 du CE.

  • Une zone d’alerte est une unité hydrologique ou hydrogéologique cohérente pour laquelle l’administration est susceptible de prescrire des mesures de restriction. Cette zone peut être tout ou partie d’un sous bassin et sa nappe d’accompagnement, tout ou partie d’une masse d’eau souterraine ou d’un groupe de masses d’eau souterraine. La délimitation des zones d’alerte doit tenir compte des moyens de surveillance existants pour permettre un suivi adapté et établir des conditions de déclenchement. Les modalités de définition des zones d’alerte sont précisées dans l’article R.211-67 du CE.

  • Dans le cadre de ses activités de constitution d'un fond de plan PCRS sur 10 départements de la région Auvergne-Rhône-Alpes, le CRAIG est amené à effectuer des opérations de contrôle basées sur des levés topographiques GNSS. Afin d'assurer la précision planimétrique de 10 cm, il est nécessaire de "rattacher" ces levés à des points de référence géodésique parfaitement connus en coordonnées dans le but de détecter d'éventuels problèmes de précision. Ce rattachement s'effectue en priorité avec les repères du RGF de l'IGN qui constituent la référence géodésique nationale. Néanmoins, les sites du RGF sont parfois difficile d'accès et les repères ont tendance à disparaître. Le CRAIG implante ainsi depuis 2022 des repères pérennes en complément de ceux du RGF pour rattacher ses levés GNSS. Les sites d'implantation choisis répondent à plusieurs critères : - bonne accessibilité routière - stationnement à proximité - support relativement stable et pérenne - bonne réception GNSS. Les repères sont généralement matérialisés par un clou topographique en acier planté dans une surface en béton et signalés par un marquage à la peinture blanche. Chaque repère est l'objet d'une fiche PDF indiquant les coordonnées calculées en RGF93 dans les projections Lambert-93 et Lambert CC45 ou 46, accompagnées de photos et d’éléments de localisation. Les informations sur les repères sont également diffusées via un flux WMS/WFS sous forme de ponctuels portant en attribut : - un identifiant unique - le nom du site - le nom du repère - le code INSEE de la commune d'implantation - la description du site - la date d'implantation - les coordonnées RGF93 - la précision calculée des coordonnées - la version du RGF93.

  • Informations sur les zonages du PSMV : Limite du secteur sauvegardé - Périmètre des îlots - Limites des îlots mis en révision - Sous secteur d'aménagement d'ensemble

  • Autre périmètre, secteur, plan, document, site, projet, espace (Éléments surfaciques) (Issus des PLUs) de la Communauté d'Agglomération du Puy-en-Velay

  • Jeu de données des cours d'eau de France métropolitaine BD Topage® version 2024 Ecoulement gravitaire des eaux provenant notamment des précipitations, d’une source, de la fonte des neiges ou des glaces, d’une surface en eau ou d’une nappe d’eau superficielle ou souterraine. Le cheminement d'un cours d’eau est continu entre sa source et sa confluence avec un autre cours d'eau ou son embouchure dans la mer. Son écoulement s'effectue en surface ou de manière souterraine, de façon permanente ou temporaire. Les cours d’eau regroupent les fleuves, rivières et ruisseaux ainsi que les canaux de navigation. En sont exclus les canaux d’irrigation, conduites forcées et fossés. Un cours d’eau est une entité hydrographique constitué de tronçons hydrographiques élémentaires. Ces tronçons peuvent parfois être souterrains, canalisés, busés, ou encore fictifs s’ils sont associés à une surface en eau (cours d’eau de plus de 5,5 mètres de large). Note : La gestion des cours d'eau transfrontaliers dans le référentiel hydrographique se fait comme suit : - Cas des cours d'eau situés sur la frontière (faisant frontière) : la géométrie de celui-ci sera intégrée en entier ; - Cas des cours d'eau franchissant la frontière une fois : un nœud hydrographique transfrontalier commun sera partagé entre les deux pays (en attente des délimitations claires des frontières) ; - Cas des cours d'eau faisant des allers-retours entre les deux pays : la géométrie de celui-ci sera intégrée en entier pour la partie comprise entre son premier et son dernier aller-retour sur la frontière (même pour la partie située dans le pays voisin). Correspond au concept "Watercourse" d'Inspire.