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  • Extrait de l’art. R. 371-19. du code de l’environnement « IV. – Les cours d’eau, parties de cours d’eau et canaux mentionnés au 1° et au 3° du III de l’article L. 371-1 constituent à la fois des réservoirs de biodiversité et des corridors écologiques. » Un cours d’eau peut être considéré par les continuités écologiques régionales comme un réservoir de biodiversité, comme un corridor ou les deux.

  • Les espaces agricoles sont un support essentiel de la qualité et de la structuration de la Trame verte et bleue d'Auvergne-Rhône-Alpes sur le long terme. Ils participent de la fonctionnalité écologique du territoire d'Auvergne-Rhône-Alpes notamment en pouvant être support de corridors. Ils sont déterminés à partir de la base de données Corine Land Cover (2016).

  • Espaces situés en dehors des réservoirs de biodiversité ou des corridors écologiques, contribuant au fonctionnement écologique global du territoire. Ces espaces perméables permettent d’assurer la cohérence de la TVB en complément des corridors écologiques, situés pour leur part dans les espaces contraints. Ils traduisent l’idée de connectivité globale du territoire et jouent un rôle clef pour les déplacements des espèces tant animales que végétales et les liens entre milieux.

  • Il s’agit d’inventaires départementaux et locaux réalisés à partir de l’exploitation d’images satellites ou aériennes pouvant renfermer des milieux humides et validés par des explorations de terrain. Ces zones humides figurent sur les bases de données régionales portées à connaissance par l’Etat.

  • Dans le cadre de la mise en œuvre du SRADDET, le Cerema assure l’administration de la base de données des observations de collisions avec la faune sauvage sur le réseau routier d’Auvergne-Rhône-Alpes. Cette base agrège les données collectées auprès des différents partenaires, de façon protocolée ou opportuniste. A partir des informations collectées, le Cerema réalise une exploitation de ces données, dans l’objectif d’améliorer la connaissance des points de conflit faune / véhicules à l’échelle régionale, et d’éclairer la mise en œuvre de politiques publiques de restauration des continuités écologiques. La pression d’observation, hétérogène sur le territoire, ne permet d’exploiter les données collectées que sur une partie du réseau routier régional pour lequel la fréquence de passage d’observateurs est quasi journalière. Ainsi, 8.500 km de réseau routier peuvent être décrits quant à leur caractère accidentogène ou non pour la faune, sur les 55.000 km de route que compte la région. Pour chaque tronçon décrit sont indiqués le nombre et la densité linéaire de collisions observées sur les années 2019 et 2020, avec un détail par famille d’animaux (grands mammifères, petits mammifères, oiseaux, reptiles et amphibiens. Les fournisseurs de données de collisions sont : - Les sociétés autoroutières : APRR, AREA et ATMB, - Les Conseils Départementaux de l'Allier et de l'Isère, - Les Directions Interdépartementales des Routes (DIR) de Centre-Est, Centre-Ouest, Massif Central, Méditerranée, - La Fédération Régionale des Chasseurs AuRA (FRC), - La Ligue de Protection des Oiseaux AuRA (LPO), - Les PNR du Livradois-Forez & du Pilât, - Le Conservatoire des Espaces Naturels Auvergne, - L'Office Français de la Biodiversité, - Les Bases de données annuelles des accidents corporels de la circulation routière (https://www.data.gouv.fr/fr/datasets/bases-de-donnees-annuelles-des-accidents-corporels-de-la-circulation-routiere-annees-de-2005-a-2021/). Cette opération bénéficie du soutien financier de la Région Auvergne-Rhône-Alpes.

  • « Extrait de l’art. R. 371-19. du code de l’environnement – III. – Les corridors écologiques assurent des connexions entre des réservoirs de biodiversité, offrant aux espèces des conditions favorables à leur déplacement et à l’accomplissement de leur cycle de vie. » « Les corridors écologiques peuvent être linéaires, discontinus ou paysagers. » Dans le SRADDET Auvergne-Rhône-Alpes, les corridors écologiques peuvent aussi assurer des connexions entre espaces perméables relais.

  • Synthèse communale des zonages écologiques relatifs au schéma régional d'aménagement, de développement durable et d'égalité des territoires (SRADDET). Données présentées : par commune, nombre de zonages par type (corridors, réservoirs, zones humides, ...) présents dans le sraddet.

  • Extrait de l’art. R. 371-19. du code de l’environnement « IV. – Les cours d’eau, parties de cours d’eau et canaux mentionnés au 1° et au 3° du III de l’article L. 371-1 constituent à la fois des réservoirs de biodiversité et des corridors écologiques. » Un cours d’eau peut être considéré par les continuités écologiques régionales comme un réservoir de biodiversité, comme un corridor ou les deux.

  • Espaces situés en dehors des réservoirs de biodiversité ou des corridors écologiques, contribuant au fonctionnement écologique global du territoire. Ces espaces perméables permettent d’assurer la cohérence de la TVB en complément des corridors écologiques, situés pour leur part dans les espaces contraints. Ils traduisent l’idée de connectivité globale du territoire et jouent un rôle clef pour les déplacements des espèces tant animales que végétales et les liens entre milieux.

  • « Extrait de l’art. R. 371-19. du code de l’environnement – I. – Les continuités écologiques constituant la trame verte et bleue comprennent des réservoirs de biodiversité et des corridors écologiques. « II. – Les réservoirs de biodiversité sont des espaces dans lesquels la biodiversité est la plus riche ou la mieux représentée, où les espèces peuvent effectuer tout ou partie de leur cycle de vie et où les habitats naturels peuvent assurer leur fonctionnement en ayant notamment une taille suffisante, qui abritent des noyaux de populations d’espèces à partir desquels les individus se dispersent ou qui sont susceptibles de permettre l’accueil de nouvelles populations d’espèces. Un réservoir de biodiversité peut être isolé des autres continuités de la trame verte et bleue, lorsque les exigences particulières de la conservation de la biodiversité ou la nécessité d’éviter la propagation de maladies végétales ou animales le justifient. »