Association de données relatives 1 - aux pratiques agricoles : (i) cultures intermédiaires pièges à nitrates et engrais verts ou cultures dérobées, (ii) semis direct ou travail du sol de conservation, (iii) non-enfouissement des résidus végétaux du précédent cultural et (iv) aucun apport en engrais minéral et en herbicide) - L'information est recueillie au niveau de chaque exploitation dans le cadre du recensement agricole et ces pratiques sont transcrites sous forme d'un pourcentage de la SAU du canton; 2 - aux menaces auxquelles les sols sont confrontés : (i) érosion hydrique, (ii) glissement de terrain, (iii) compaction, (iv) acidification et (v) risque d'hydromorphie. Les variables représentant ces risques sont discrétisées sous forme de classes (respectivement 6, 8, 5, 6 et 5). Chaque classe de menace est transcrite sous forme d'un pourcentage de la surface agricole du canton (déterminée avec Corine Land-Cover); A ces deux types de données, ont été rajoutées des informations sur les orientations technico-économiques des exploitations agricoles (en pourcentage de la SAU du canton).

Pour suivre les impacts du changement climatique sur les végétations d'alpage, un suivi annuel de la biomasse disponible à l’arrivée des troupeaux est réalisé sur chaque alpage sentinelle. Des hauteurs de végétation avant passage du troupeau sont ainsi mesurées sur des stations fixes identifiées. Ces mesures permettent de suivre la variabilité interannuelle de la quantité de fourrage disponible à l’arrivée des troupeaux.

La base est constituée de données décrivant : 1 - l'activité équine au sein des exploitations agricoles détenant des équins (recensement agricole 2010): 2 - l'activité de l'ensemble des exploitations agricoles dans le canton (recensement agricole 2010) : 3 - la description du canton en terme de population et de catégories socio-professionnelles (Recensement de la population 1999) :

Une masse d'eau côtière est une partie distincte et significative des eaux de surface situées entre la ligne de base servant pour la mesure de la largeur des eaux territoriales et une distance d’un mille marin. Correspondance rapportage DCE : cette entité correspond au concept de Coastal Water Body (CWBODY) de WISE.. Elle permet de définir les objectifs environnementaux, d’évaluer l’état des milieux et ultérieurement de vérifier l’atteinte de ces objectifs. La version diffusée sur le site du SANDRE est conforme au rapportage de 2016 . La prochaine version du référentiel Masse d’eau (masses d’eau provisoires, définies pour l’Etat des Lieux) est prévu pour 2019. Les couches sont diffusées dans un format conforme au dictionnaire de données SANDRE du Référentiel masse d’eau, version 1.3.

Le système de traitement d'eaux usées est un ouvrage de dépollution des eaux usées par des procédés divers : biologiques, physico-chimiques... localisés sur un espace géographique continu et homogène. Il est de type urbain, industriel ou mixte en fonction de la nature du maître d'ouvrage. Plus concrètement, quelles que soient les configurations, une station d'épuration est tout l'espace géographique "délimité par la clôture" contenant un ensemble de constructions de génie civil dotées d'appareillages et appartenant à un seul maître d'ouvrage. Le système de traitement d'eaux usées comprend la station d'épuration et le déversoir en tête de station (ouvrage du système de traitement qui permet de dériver tout ou partie des effluents qui arrivent à la station). Le constructeur global de la station d'épuration est la désignation sociale de la principale société de BTP qui a construit la station d'épuration. Quand plusieurs sociétés sont intervenues dans la construction de la station d'épuration, c'est celle qui a réalisé la part la plus importante des travaux qui sera retenue. Quand une station d'épuration a fait l'objet de plusieurs programmes de travaux, c'est le dernier constructeur principal qui est pris en compte. Les informations descriptives sur les systèmes de traitement d'eaux usées relèvent de la responsabilité des Agences de l'eau.